Novomatic, leader du marché des jeux

Présentation générale

Novomatic Italia compte aujourd’hui environ 4 000 employés, trois bureaux principaux en Italie, de nombreux bureaux plus petits et est active dans tout le pays, y compris les îles. La société, leader du marché dans le secteur des jeux, est la filiale italienne de la société autrichienne Novomatic AG, l’un des plus grands fabricants et opérateurs internationaux de technologies de jeux, présent dans 100 pays et employant près de 25 000 personnes dans le monde.

Le défi

La sensibilisation de Novomatic à la cybersécurité est très élevée, non seulement parce que l’entreprise doit gérer une grande quantité de technologie, mais aussi parce qu’elle doit se conformer à des règles strictes en ce qui concerne les jeux légaux, qui, en Italie, sont soumis au contrôle de l’Agence des douanes et des monopoles. En outre, comme elle dispose également d’un établissement de paiement interne (Admiral Pay), la société est soumise aux contrôles de la Banque d’Italie.

Le Cyber Guru a permis d’obtenir les résultats attendus depuis des années

Il suffit d’un mauvais clic pour ruiner l’activité d’une entreprise. Et lorsqu’il y a des milliers d’employés, le risque est très élevé. Pour ce faire Novomatic Italie a choisi Cyber Guru après avoir expérimenté plusieurs plateformes de formation parmi les plus importantes au monde. « Un choix qui s’est avéré excellent et qui nous a donné des résultats incroyables en peu de temps« , déclare Pasquale Salerno, Ciso de Novomatic Italia.

Depuis son implantation en Italie en 2007, l’entreprise s’est dotée d’une solide structure de protection… En outre, elle s’est tournée vers les plateformes de formation internationales les plus réputées pour renforcer la sensibilisation des milliers d’employés exerçant les fonctions les plus diverses (cuisiniers, chauffeurs, personnel technique et administratif, gestionnaires, etc.)

« Mais les résultats n’étaient pas satisfaisants », explique M. Salerno. « Je n’ai pas constaté une implication suffisante de la part du personnel, à tel point que notre pourcentage d’adhésion à l’UE a été très faible. Le nombre de « serial clickers« , malgré toutes les précautions prises, était encore très élevé, si l’on considère que le facteur humain est toujours celui qui est lié au risque le plus élevé de cyber-attaques ».

Pour ne rien arranger, la révolution provoquée par la pandémie a transformé la façon de travailler.

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